J’emprunte ce billet au site Fb « Sur les traces de l’éternel féminin »
« Le cœur de la lumière est noir » disent les physiciens et les mystiques et ce noir contient en lui « la lumière du monde ». La majorité de Déesses Mères des civilisations anciennes sont communément dénommées les « Déesses-Mères-noires » : Isis et Bastet en Egypte, Cybèle chez les phrygiens, Déméter en Grèce, Artémis à Ephèse, Venus à Pathos, Black Annis en Grande-Bretagne, Kali et Durga en Inde, Shekinah dans la Kabbale juif, « Vierge-noire en Majesté » chez les chrétiens. A la Mecque, la plus ancienne idole du Hedjaz connue était une pierre noire nommée la Ka’aba, soit littéralement « la fille aux seins développés ».
Ces déesses noires ou voilées symbolisèrent l’Univers en tant que la grande nuit mystique où se dissout l’égo et leur couleur NOIRES est associé à la virginité primordiale d’avant toute manifestation, mais aussi à la connaissance suprême, celle d’avant toute connaissance .