« Bénis soient les regards assez tendres, assez fous, assez vrais, pour me donner le coeur de m’espérer encore, de m’attendre à quelqu’un d’autre en moi. Les vrais, les seuls regards d’amour sont ceux qui nous espèrent, qui nous envisagent au lieu de nous dévisager. »
Père Paul Baudiquey (1926-2001) Tableau de Rembrandt Le fils prodigue