C’était le mot de juillet 24

Depuis plusieurs mois, les turbulences sont quotidiennes. Qu’elles soient énergiques, climatiques, politiques, sociétales, … nous vivons dans un ballotement permanent. Cela peut être très stressant de constater que rien n’est stable ni serein. Certes. Mais cela peut aussi nous inciter à travailler sur notre paix intérieure : puisque mon corps, ma pensée sont les seuls espaces où je peux avoir la main mise.

Cela demande d’entrer dans un silence intérieur : pas simple. Un ciboulot « chapeautant du chapeau » ne s’arrête pas en un claquement de doigts. Il lui faut du calme, et l’assurance que le mode pause ne va pas le faire dérailler. Il lui faut aussi de la patience, de la persévérance … Tout un vocabulaire qui semble appartenir au siècle dernier ! Ne riez pas : ce n’est pas en tirant sur la salade qu’on la fait pousser !

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