Tout comme deux faces d’une pièce de monnaie sont complémentaires, le blanc et le noir sont indissociables. La lumière n’est jamais aussi intense que dans l’obscurité. Ce n’est pas de combattre nos « défauts » qui nous rendra plus « sage », c’est plutôt de faire avec. Longtemps on cherche à gommer les imperfections au nom d’une quête qui se voudrait spirituelle. Il est plus juste et bénéfique de tendre la main au lieu de lutter. Amadouer avec tendresse et douceur nos noirceurs permet de transformer ces forces Prométhéennes en force de lumière. Comment se rendre compte de la justesse de cette démarche ? Un indicateur : la paix intérieure !